J’aimerais lire de ta poésie : gemmes d’air à dire ou oser dire
Les germes d’herbe et la douce mousse
Dans les interstices de nos arbres
Les recoins de leur essence
Brûlent au nom de la déliquescence
Des germes d’herbe et là, d’où ce meut ce mot
Pourtant ils étaient réunis là, là ils sont réunis
Tous les deux, sous les feux de la nuit
Autour de cette table en bois, autour de cette fable
Un appel au jeu, cent fois
Un appel au destin, à cette table en bois
Autour de cette fable de toi
Au jour cette fable, qu’est-ce qu’elle sera ?
Avec tes mots de velours, nous avons un toit
Avec tes flots pleins d’atours, nous t’avons toi
D’autres je le sais, l’on dit avant moi
D’autres on-dit, dont on doit se défaire
« Le café vient de fermer mais j’suis devant j’reste »
Toi sirène as-tu l’humeur vengeresse ?